Seconde rencontre avec Maître Justin

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il y a 8 ans

"Tu suces ?"

Ca y est, l'homme se lance. La soixantaine probablement, grisonnant, taille moyenne, ça fait déjà trois fois qu'il passe devant moi et me mate, l'air intéressé et hésitant, tout en se tripotant la queue au travers de son pantalon. Les deux premières fois, il est reparti mais, maintenant, il m'aborde. Je rêve de lui répondre positivement, de le voir sortir son dard raidi et de le prendre en bouche pour son plaisir et le mien aussi, soyons francs. Ca serait la première fellation que je dispenserais. Mais j'attends mon Maître. Nu, à genoux, dans les couloirs du club, je l'attends. Et je ne sais pas comment il réagirait si, en arrivant, il constatait que j'ai commencé les festivités sans lui. Pourtant, il me mettra surement à disposition des badauds, mais ce n'est pas à moi d'en décider, j'imagine. Je refuse donc poliment et explique à l'homme qu'il peut peut-être tenter sa chance plus tard, quand mon Maître sera là. Grande déception ... pour moi en tout cas.

Il s'en va et l'attente reprend. J'étais à l'heure mais la radio, diffusée dans le club, annonce plein de problèmes de circulation. Mon Maître n'est pas là. D'autres curieux passent, les uns après les autres. Ils sont cinq ou six à déambuler ainsi, avançant lentement, indécis, arrivant devant moi puis repartant. Certains prennent le temps de lire la pancarte que mon Maître m'a ordonné de porter au cou : "Jérôme, soumis de Maître Justin" avant de s'en retourner je ne sais où. Le savent-ils eux-mêmes ? Ils vont, viennent, et repassent. Toujours les même têtes. Parfois une nouvelle entre dans la danse. Mais c'est rare car nous sommes en semaine, vendredi, c'est donc un jour ouvré. Au bout d'un moment, je me décide à aller dans mon, casier consulter mon téléphone. Mon Maître m'a peut-être laissé un message : 14h55 et pas de message. Je suis là depuis 14h30. Je reprends ma position comme exigé par mon Maître. Après tout, il se joue peut-être de moi. Cette attente fait peut-être partie de son programme. Je ne veux pas le décevoir. Je reprends ma position d'attente devant l'entrée du fumoir et la ronde des badauds recommence. Je me relève parfois pour consulter mon téléphone mais rien, pas de nouvelle.

Raté ! Mon Maître arrive alors que je viens juste de me relever une dernière fois. J'aurais dû être à genoux à son arrivée. Il ne me fait aucun reproche mais me précise bien que c'est au soumis d'attendre.

Il commence par m'ordonner de me masturber car il veut me voir dur. J'obéis mais je ne parviens pas à bander complètement et mon érection descend immédiatement. Il me dit de le suivre. Je m'exécute donc. Il m'emmène dans une première cabine, très petite, celle où nous étions lors de notre première rencontre et il voit mon sexe mou. Il m'ordonne de nouveau de me masturber. J'obéis encore mais ça ne monte pas. Il n'est pas content et je suis déçu. Il me dit de placer mes poignets au niveau de la nuque et de les y maintenir. Il retire ma pancarte et me fouette au martinet sur la poitrine. Je supporte bien. Il arrête généreusement car il est convenu qu'il ne faut pas de traces persistantes. Ca n'a pas duré bien longtemps. Ce fut même très bref.

Il me mène alors vers une autre cabine, bien plus spacieuse. Nous avons plein de place et une grande estrade avec coussins laisse imaginer toutes sortes d'ébats qui ont pu avoir lieu ici. Une petite fenêtre dans le mur donne sur une salle d'où des curieux pourront observer à loisir et en presque toute discrétion ce qui se passe chez nous. Mais, de toute façon, mon Maître laisse la porte ouverte. Il veut que tout le monde puisse mater ce qui va se passer et voir qu'il me met à disposition de qui veut jouir de moi. Et, en effet, les mêmes badauds que toute à l'heure défilent tour à tour devant nous, jetant un oeil, passant, revenant, disparaissant de nouveau puis revenant plus tard encore. Parfois, l'un d'eux s'installe quelques instants dans la salle d'à côté et contemple le spectacle par la fenêtre. Je les devine sans vraiment les voir.

Mon Maître commence par étudier ce que j'ai amené sur ses instructions. La fameuse pancarte que je portais au cou, pour commencer, avec, au recto, le mot disant que je suis son soumis et, au verso, une photo de moi, nu, sur laquelle je rédigerai sous sa dictée le contrat que nous devons signer aujourd'hui. Puis il étudie toutes les feuilles que j'ai imprimées et qui reprennent nos différentes conversations en mails. Il pense me mettre sur la croix ou le sling du club et m'interroger sur tout cela. Il tombe également sur les bas qu'il m'avait dit d'acheter lors de notre dernière (et première) séance.

Puis il passe aux choses sérieuses. Il met en place les pinces à clamper sur mes tétons en m'ordonnant de ne pas baisser les yeux, de le regarder dans les yeux. Et je le vois qui cherche ma réaction dans mon regard. C'est inquiétant, de ne pas voir ce qu'il fait. Je me sens plus tendu. La morsure prend mes tétons, mais elle est supportable. Puis Maître Justin remplace la pancarte par une autre de son cru qui précise que je suis une salope suceuse. Il me fait enfiler mes bas. Le contact est doux et très agréable. J'ai même l'impression que ça me fait de belles jambes, alors que je ne les trouve pas terribles en temps normal. Il me fait ensuite chausser des nu-pieds. Il prend un premier lacet et bonde mes testicules. Il y ajoute des poids. C'est agréable, en fait, de sentir ce poids, encore léger, balancer sous moi et pendre à mes parties. Il prend un second lacet, le noue à mon gland et attache l'autre extrémité à la pancarte pour tirer ma queue vers le haut. Je semble lui plaire comme cela. Il joue avec les pinces et me regarde dans les yeux pendant que je souffre : "salope". C'est dit avec mépris et amusement. Mon visage qui se tord doucement de douleur semble exciter mon Maître. Pendant tout ce temps, les promeneurs jettent un oeil lors de leur passage devant notre cabine ou au travers de la fenêtre. Mon Maître prend ensuite son martinet et me fait me tourner et pencher en avant. Que de premières fois avec Maître Justin. Il y a un mois, il m'offrait ma première séance de soumission. Là, c'est la première fois qu'un martinet touche mes fesses. Ca fait mal. Mon Maître y va franchement et me dis de compter. Je le fais mais j'ai du mal à rester en place sous les coups. Surtout qu'il touche toujours au même endroit. 20 coups presque tous sur la fesses droite, sur le côté. Mais ça passe rapidement. Il me fait ensuite me redresser et lui faire face. "Salope". Il est temps pour lui que je sois parfaitement à son goût. Il me maquille donc, tout en m'insultant. Je le vois faire et le sens s'affairer sur mon visage. Mais je ne me vois pas dans les miroirs aux murs et au plafond. Je le laisse faire, je n'ai pas le choix, les poignets au niveau de la nuque sur son ordre depuis le début. Et les curieux continuent de défiler devant notre porte, sans jamais entrer. Quand il a fini son ouvrage, il m'observe l'air satisfait et me montre face à la porte à tous les badauds qui passent. Il aimerait que l'un deux demande à m'utiliser. Moi aussi, en fait. Mais ils ne font que passer, jeter un oeil et s'en aller.

Je dois alors me pencher de nouveau, dos à mon Maître. Il fait je ne sais quoi dans ses affaires derrière moi puis glisse un doigt entre mes fesses. Je sens que c'est humide et que ça glisse. Quand je suis assez lubrifié, il insère le doigt dans mon anus, puis le plug que j'ai vu traîner dans son matériel. Il me l'enfonce entièrement. C'est un peu difficile mais je l'avale entièrement. Mon Maître me fait m'asseoir sur l'estrade en écartant bien les fesses. Je sens que le plug butte contre l'estrade. Je dois ensuite remuer le bassin :

"tu le sens bien, dans ton cul, là ?

  • Oui, Maître."

C'est agréable, il faut le dire. Je continue un peu, toujours dans l'attente d'un volontaire.

Mon Maître voudrait qu'ils n'hésitent plus, les voyeurs du couloir. Il fait donc en sorte de préciser son message. Il prend un crayon noir et porte une inscription sur mon front. Je ne la vois toujours pas mais je sens parfaitement les lettres se dessiner l'une après l'autre : S ... A ... L ... O ... P ... E. Et, sur la pancarte, sous le terme "suceuse", il ajoute "gratuitement", pour éviter tout malentendu. Mais le résultat n'est toujours pas là.

Mon Maître se lasse d'attendre et décide de passer à la signature du contrat. Il me dit de prendre le carton sur lequel j'ai collé ma photo nu ainsi que le marqueur qu'il m'avait dit d'amener. Il me fait me mettre ensuite à quatre pattes et s'assied devant moi sur un siège. Il me dicte le texte : "Je, soussigné Jérôme, demeurant en Lorraine, souhaite devenir l'esclave soumis de Maître Justin. C'est en toute connaissance de cause et en pleine connaissance de mes moyens que je prends cette décision; Fait à Nancy le 02/09/2016" et signature.

Je lui remets le document qu'il pose sur l'estrade et il me tend son pied : "enlève ma chaussure et baise mon pied". Je m'exécute, comme toujours. Il veut que je suce ses orteils, puis que je passe ma langue entre eux. J'obéis, docilement en m'appliquant à rendre cela agréable à mon Maître.

Après un certain temps, il me dit d'arrêter, remet sa chaussure et, me laissant à quatre pattes devant lui, il farfouille dans ses affaires sur l'estrade. Je ne vois pas ce qu'il fait. Il vient derrière moi et le martinet s'abat de nouveau sur mon postérieur. La fesse gauche, cette fois et je dois compter : 30 coups. Puis il va ranger le martinet et s'affaire encore dans son matériel. J'attends. J'entends des bruits que je n'identifie pas. Puis Maître Justin revient derrière moi et la douleur s'abat, mordante, sur le cuir de mes fesses. Le bruit, je l'identifie maintenant : celui d'un briquet avec lequel il a allumé une bougie. Et il verse la cire fondue sur mon cul. C'est atroce. Ca pique. C'est terrible. Je ne tiens pas. Je ne peux m'empêcher de remuer le derrière. Je me tortille, tente de me dérober et supplie. Il continue un peu malgré cela puis finit enfin par arrêter. Il me dit de me lever et je le fais, forcément. "Penche-toi en arrière." Je le fais aussi et il place la bougie au dessus de mon sexe. La cire tombe sur ma queue, mon ventre et mes parties. Maître Justin prend celles-ci dans sa main pour mieux les viser. Ca brûle, évidemment. Mais là, je ne souffre pas encore trop. Il retire les pinces de mes tétons et place la bougie au dessus. A leur tour de déguster. J'anticipe la douleur qui est un peu moindre que ce que j'attendais mais elle est quand même bien présente.

Maître Justin se recule. Il tourne le dos à la porte et, moi, j'y fais face. Je peux donc voir entrer l'homme, le pantalon déboutonné et la bite toute droite, pointant vers moi. Il avance en hésitant à peine, son sexe me paraît épais, pas forcément très long.

  • Ah, tu vois, dis mon Maître en le voyant, tu intéresses ce monsieur. Vous voulez qu'elle vous suce, la salope ?

  • Oui, répond l'inconnu.

La voici donc, la première queue qui va entrer en moi, en l'occurence, dans ma bouche. Je m'agenouille, place la capote et, sans hésitation, me mets à l'oeuvre. J'ai une bite, moi aussi, et je sais ce qui est bon quand je suis sucé. Je m'attèle donc à satisfaire le propriétaire de l'engin. Une main à la base, je vais et viens de la bouche et de la main. Je mets parfois ma langue à contribution. Je sens le gland, bien dessiné et volumineux, qui entre et sort, glisse sur ma langue, sous mon palais. Mais je ne le laisse pas aller complètement dehors. Je m'en occupe goulûment.

  • Elle suce bien, la salope ?

  • Oui, ça va, elle se débrouille bien.

  • Vous pouvez l'enculer, aussi.

  • Non, ça va comme ça.

Je suis content d'entendre que je donne du plaisir. Je le suis moins de savoir que je ne serai pas pris par le fion. Je ne l'ai jamais été et j'attends cela tout aussi impatiemment. Puis j'entends de nouveau le son du briquet. Mon Maître se place à côté de moi. Il semble penser que cela ne me suffit pas, que je peux faire mieux encore et qu'il peut contribuer à améliorer les choses. La brûlure tombe sur mon épaule. Il m'arrose copieusement de cire et j'ai mal. Il touche mon épaule, mon dos, ma cuisse sous l'épaule. Je me tords encore.

  • C'est pas mieux, comme ça ?

  • Ah si, ça fait de l'effet, dit l'inconnu ...

Je ne tiens pas et j'implore. Mon Maître arrête. L'homme pousse alors, il ne se contente plus de me laisser faire et il oscille son bassin. Son gland va jusqu'au fond. Je ne maîtrise pas. Problème de déglutition. Puis je prends le pli : quand il s'avance pour aller le plus loin possible, je dévie son dard de la langue pour l'empêcher d'aller vers ma glotte et pour l'orienter plus vers le haut. J'espère que cela ne déplaît pas.

  • Finalement, je l'enculerais bien, la salope.

Chic ! Chic ! Chic ! Mon Maître m'envoie retirer le plug qui est toujours là et que je sens quand même toujours un peu. J'y vais mais j'ai des complications. Je tarde un peu à revenir. Bonne surprise à mon retour : un second homme est là, qui attend son tour, créant un début une file. "Tu vois, salope, dit Maître Justin, bientôt, il faudra des tickets". Je suis assez satisfait et impatient de satisfaire mes deux "clients". Mais le premier a débandé. Je le suce donc de nouveau pour le redurcir. Pendant ce temps, mon Maître dit au second d'aller chercher une capote. Il s'en va et ne reviendra pas. Je ne le sais pas encore et me concentre sur le premier. Il ne raidit plus complètement. Il veut quand même essayer de me prendre. Je me tourne donc face à l'estrade et me penche en avant en écartant les jambes. Il se place et met son dard à mon entrée. Il essaye, mais ça ne veut pas entrer. Peut-être me suis-je fermé. L'homme essaye encore et encore. Il me prend à l'aine à bras le corps et tente de me pénétrer en me plaquant à lui. La sensation est très agréable, mais il n'entre toujours pas. Sa bite ramollie plie contre ma raie et ne force pas son passage dans mes entrailles. Finalement, il se résigne et renonce. Je suis déçu et m'excuse. Il ne sera donc pas le premier à prendre par le cul. Qui donc sera celui-là ?

Il s'en va en nous saluant et nous voici de nouveau seuls, mon Maître et moi. Il plane dans l'air une atmosphère de fin de séance, comme si nous pensions, lui et moi, avoir fait le tour pour aujourd'hui. Nous discutons un peu puis il me propose de décider moi-même si je veux en rester là pour cette fois. J'acquiesce car je sens qu'aucun autre gars ne viendra profiter de moi. J'ai l'impression que mon Maître a également déjà fait ce qu'il avait envie de faire. Je ne voudrais pas qu'il se force ni que l'ennui vienne assombrir cette séance déjà riche en premières fois pour moi. En plus, je ne sais pas combien de temps il me faudra pour retirer tout mon maquillage, que je n'ai pas encore vu, ni la cire qui s'est prise dans mes poils. Nous mettons donc fin à la séance. Mon Maître m'aide gentiment à racler la cire dans mon dos, là où je ne vois pas . Il me précise que l'inconnu a apprécié ma réaction quand elle a coulé sur moi et que je dois donc savoir à quoi m'attendre la prochaine fois. Il ajoute qu'il connaît un autre soumis, dont il a la clé de la cage de chasteté, et il nous imagine bien, tous les deux, une prochaine fois, faisant des cochonneries sur son ordre, sur les coussins de l'estrade. Puis il s'en va, m'ordonnant de rédiger ce récit. Impatient de vivre ce qu'il vient de me promettre, je ne tarde pas à le suivre après m'être quand même démaquillé.

Voilà, donc, Maître, je vous obéis et relate maintenant cette séance pour, je l'espère, le plaisir de tous mes lecteurs et, surtout, le vôtre. Je vous remercie encore à genoux pour ces moments forts que vous m'avez fait vivre ce vendredi 2 septembre 2016. J'espère pouvoir améliorer les points où je n'ai pas assuré, bander quand vous le voulez et mieux me tenir sous la cire. A très bientôt, je suis impatient de vous rencontrer de nouveau. Merci, Maître.

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